Nicolas Grosbois (Panzoult) ***
Nicolas Grosbois - "La Cousine de ma mère" 2016 Vin de France "Chiner" en magnum : (La "cuisine de ma mère" est devenue "la cousine" en 2016, Nicolas ayant été obligé d'acheter du raisin du côté de Gaillac, de "chiner", à cause de la grêle, il n'est donc pas en AOC Chinon) Robe rubis, nez très expressif, plein de petits fruits rouges, avec en plus un côté très original, légèrement sucré et gourmand qui me rappelle des yaourts poire/caramel façon tarte amandine ! La bouche est légère, avec des tannins quasi inexistants, une texture soyeuse superbe, pleine de fruits, très gouleyante, à peine sucrée avec juste ce qu'il faut d'acidité pour que ça ne soit jamais écoeurant. La finale est assez courte, mais on a tout de suite envie d'y retourner. Le vin de soif par excellence. Note : 16,5/20.
Nicolas Grosbois - Chinon "La cuisine de ma mère" 2015 : plus "rustique" que le 2016, plus de tannins, plus puissant, on retrouve le côté légèrement végétal du cabernet. Moins convaincant. Note : 14/20.
Nicolas Grosbois et Hauts Baigneux
Chinon Cuisine de ma mère 2017 un peu vert, Gabare 2017 bien mieux, fruits noirs, encore serré, Noyer 17encore un cran au-dessus, avec une grosse matière et des tannins plus soyeux, Gabare 16 un peu moins bien, puis Noyer 2009 qui commence juste à partir sur le sous-bois, plein de fruits mûrs, très beau. Hauts Baigneux Blanc Chenin 2014 très marqué poire, et pomme au four, manque un peu de tension.
Chinon Montet 2017 sombre en couleur, nez truffé, assez riche, cofituré, fruits noirs, un peu trop vite écoeurant, mais beau jus, à voir à l'évolution, pourra faire un beau pomerol par exemple.